photo aSH

aSH

Dijon 21000

Le 03/12/2021

De la bouche même d’Aurélien Bory, auteur, metteur en scène et scénographe de renommée internationale, Shantala Shivalingappa est une danseuse extraordinaire. Formée dès son enfance au Kuchipudi qu’elle interprète avec une grâce, une sensibilité et une maîtrise technique reconnues autant en Inde que dans le monde, elle a aussi dansé pour les plus grands chorégraphes et artistes européens : Maurice Béjart, Peter Brook, Bartabas, Pina Bausch. De la rencontre entre Aurélien Bory et Shantala Shivalingappa nait aSH, une oeuvre mouvante, qui vibre avec le percussionniste Loïc Schild, fait « danser l’espace » et voyage entre Orient et Occident, culture ancestrale et création contemporaine, le feu et la glace. C’est sur la figure de Shiva, dieu créateur et destructeur, mais aussi divinité de la danse que s’est construit l'art de Shantala. Dans sa danse, la géométrie de ses gestes faite de points, de spirales, de symétries, imprime l’espace et le sol de cendre. Dessin fragile, volatile, éphémère. Ombre et lumière.

photo L'eau douce

L'eau douce

Dijon 21000

Du 16/02/2022 au 17/02/2022

L’eau, trouble et double, fascine Nathalie Pernette. Tout à la fois sombre et limpide, douce ou furieuse, joyeuse et ténébreuse, peuplée d’êtres fantastiques réels ou imaginaires… elle est une intarissable source d’inspiration pour la chorégraphe, qui après La mémoire de l’eau, pièce tous publics, proposée dans les piscines, imagine son pendant pour les tout-jeunes enfants. Dans L’eau douce, elle conçoit d’abord une rêverie chorégraphique, qui fouille la part étrange, légère et ludique de l’eau. Elle trace aussi un voyage, celui des corps qui dansent et des imaginaires qui divaguent. Son chemin traverse différents états de l’eau, de la glace à la neige, de la brume à l’évaporation. Jouant de ses différents aspects, L’eau douce saisit l’humeur changeante et imprévisible de l’eau pour mieux la « goûter », et (qui sait ?) donner l’envie d’en prendre soin…

photo L'eau douce

L'eau douce

Dijon 21000

Le 17/02/2022

L’eau, trouble et double, fascine Nathalie Pernette. Tout à la fois sombre et limpide, douce ou furieuse, joyeuse et ténébreuse, peuplée d’êtres fantastiques réels ou imaginaires… elle est une intarissable source d’inspiration pour la chorégraphe, qui après La mémoire de l’eau, pièce tous publics, proposée dans les piscines, imagine son pendant pour les tout-jeunes enfants. Dans L’eau douce, elle conçoit d’abord une rêverie chorégraphique, qui fouille la part étrange, légère et ludique de l’eau. Elle trace aussi un voyage, celui des corps qui dansent et des imaginaires qui divaguent. Son chemin traverse différents états de l’eau, de la glace à la neige, de la brume à l’évaporation. Jouant de ses différents aspects, L’eau douce saisit l’humeur changeante et imprévisible de l’eau pour mieux la « goûter », et (qui sait ?) donner l’envie d’en prendre soin…

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